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Ceinture de chasteté
Une ceinture de chasteté est une ceinture munie d’une serrure
conçue pur empêcher les relations sexuelles et la masturbation. Le but peut aussi être de protégé la personne qui la porte du viol ou de la tentation. Il existe des ceintures
de chasteté pour homme et pour femme.
Elles étaient utilisées au Moyen Âge par les soldats partant au combat pour s’assurer de la fidélité de leur épouse pendant leur absence. Aujourd’hui, elles son utilisées lors des pratiques sado-masochistes.
Cuckolding
Origine du mot
Le mot Cuckolding dérive du mot
anglais cuckold qui signifie cocu et qui provient lui-même de Cuckoo (coucou). C’est d’ailleurs la même chose en Français ; cocu découle de coucou. La parenté de ces deux mots,
cuckold et cuckoo en Anglais ou cocu et coucou en Français, fait référence au comportement de la femelle du Coucou qui pond ses œufs dans les nids des autres
oiseaux.
Usage
Le terme Cuckolding sert à désigner une pratique masochiste faisant partie de la FemDom (Female Domination = Domination Féminine) où un homme est sexuellement excité en éprouvant la honte d’être cocufié ostensiblement par sa femme ou sa compagne. Généralement, c’est le conjoint qui incite son épouse à avoir des rapports sexuels extra-conjugaux dont il est souvent le témoin soit visuellement soit seulement auditivement. Souvent, pour renforcer cette humiliation, la femme se refuse totalement à son mari ou ne lui autorise que le cunnilingus et l’anulingus . Evidement, l’ « infortuné » mari n’est pas autorisé à avoir des relation sexuelles extra-conjugales, et par conséquent il n’est pas rare qu’elle lui « impose » le port d’une ceinture ou d’une cage de chasteté.
Dans un tel couple, les tâches ménagères et le service de table (notamment quand la dame invite son amant à manger) sont habituellement dévolus à celui qui a volontairement perdu ses prérogatives viriles. Cette pratique sexuelle est fréquemment accompagnée par d’autres pratiques BDSM : fessée, facesitting, port de sous-vêtements féminins, humiliation verbale…
Domination sexuelle
Les termes de domination sexuelle regroupent un ensemble de pratiques
non exhaustives, visant pour un individu donné d’obtenir une emprise sur son, sa ou ses partenaires sexuels.
Mythe ou réalité ?
Il convient de différencier d’une part les jeux sexuels entre
partenaires consentant, qui se situent dans un contexte déterminé, mais qui prennent fin à l’issu d’une « séance », et d’autre part un état plus ou moins premanent de soumission physique ou
psychique, ou le « dominé » peut ne plus disposer de son propre libre-arbitre et dont la condition est empreinte d’une certaine détresse.
Généralités
Associées au BDSM, dans tous les cas les relations entre partenaires typiquement le maître et le soumis- implique au départ un pacte qui pose les bases et où chacun sait les limites de l’autre.
Ce pacte peut-être explicite et écrit, et dresse parfois une liste exhaustive des devoirs du soumis et du Maître.
La relation a pu s’établir au fil du temps et amener les partenaires à
repousser de plus en plus loin leurs limites.
FemDom
Cette pratique suppose que le maître est une femme. La dominatrice trouvera à maintenir un ascendant ponctuel ou permanent sur un partenaire masculin ou féminin.
Classiquement certains hommes vont rechercher des relation de ce type où, dans l’intimité il peuvent « expier » leurs fautes et subir les pires outrages.
Les soumis ont souvent des personnalité dominantes dans le «
civil ».
Pratiques (homme soumis)
v Chasteté
v Cuckolding
v Épilation
v Flagelation
v Facesitting
v Écrasement des testicules
v Se faire marcher dessus avec des talons aiguilles
v Bondage
v Sodomie
v Travestissement
v Autres
humiliations
Pratiques(femme soumise)
v Idem
v Torture des seins
v Port de plugs
v Tenues exigeantes (nues en permanence.. ou répondant à tout désir du maître)
v Rasage des aisselles, des poils pubiens, des cheveux.
v « prêt » à d’autre partenaires féminin ou masculins
v entartage
v diffusion des séances en vidéo sur internet
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