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Samedi 15 septembre 6 15 /09 /Sep 22:06

La magie du bandeau

 

Accessoire omniprésent des jeux de domination et soumission, le bandeau en est certainement le plus magique.

 

Sa fonction est double : plonger la personne soumise dans le noir, masquer son regard auprès du dominant.

 

Pour une femme soumise, être plongée dans le noir, c’est ne plus voir et donc ne plus pouvoir anticiper. L’angoisse est plus forte, l’appréhension rend les émotions extrêmes, et les sens sont facilement trompés. Elle n’a plus de mesure pour se reprérer, elle est encore plus totalement livrée. Car le regard est le premier de nos sens dans l’ordre d’importance.

 

Privée du regard, la personne soumise développe alors les perceptions issues des autres sens. Avec l’ouïe elle pourra imaginer où est la personne dominante, s’il y en a d’autres. Avec l’odorat savoir de qui il s’agit, où elle est. Quant au toucher, c’est le sens qui lui permettra de se déplacer au gré des envies de son Maître. Prendre possession de la vue c’est prendre possession complètement de l’autre.

 

Car le bandeau modifie également la perception de la personne dominante. Elle ne dispose plus du regard de l’autre, regard qui peut être précieux pour savoir ce qu’elle ressent, s’adapter, mieux réagir. Mais il peut être aussi intimidant, peur de ne pas être à la hauteur. Ainsi le bandeau est paradoxal. Il livre encore plus la personne soumise, mais créée une distance plus grande qui permet à la personne dominante de s’extraire un peu de l’emprise de la soumise !!! Mais sa responsabilité en est encore plus grande
Par ZU - Publié dans : ARTICLE SUR LE BDSM SUITE
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Samedi 15 septembre 6 15 /09 /Sep 22:02

BHW

BHW 

Au petit bricoleur
 

Parce que le BDSM est avant tout une pratique cérébrale, où l'imagination a toute sa place, avoir quelques qualités de bricoleur est un atout.
Et pour un bricoleur, l'endroit rêvé est le BHV, et en particulier dans son magasin parisien, le sous sol, pour tout ce qui touche au bricolage. Bien sur il existe de nombreuses chaînes spécialisée, mais cela reste un ndroit très spécial par son ambiance chaude, loin des grandes travées deshumanisées. Et c'est dans les sombres recoins du magasin que peuvent
s'imaginer les supplices les plus complexes.
Evidemment on y trouvera toutes les cordes, poulies, adhésifs, chaines, pitons, étaux dont on peut rêver. Mais un manche en bois, une pince électrique ou encore des poids en plomb,
ne manqueront pas d'éveiller vos sens les plus aiguisés...Sans oublier le rayon pour les animaux...
Bref, venez y faire un tour vous ne serez pas déçu et ne repartirez surement pas bredouilles, surtout si vous avez le courage de faire quelques pas dehors, visiter le BHV Médical mais aussi le stand de découpe du bois pour fabriquer de bien jolis meubles...

Par ZU - Publié dans : ARTICLE SUR LE BDSM SUITE
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Samedi 15 septembre 6 15 /09 /Sep 21:57

Sensations

L'utilisation des bougies dans les jeux BDSM est pleine de sensations. La bougie peut être utilisée pour brûler légèrement, ou pour transformer en chandelier un(e) esclave.
Sensation masochiste lorsque la cire fondue est versée sur le corps, le recouvrant d'une fine couche, provoquant de multiples morsures dont l'intensité est directement liée à la hauteur de la bougie. La cire peut être versée sur toutes parties du corps, éviter quand même le visage. La douleur est vive mais s'estompe rapidement, l'excitation souvent au rendez vous surtout lorsque les parties génitales sont concernées!
Mais sensation également en domination lorsque l'esclave esttransformé(e) en bougeoir pour éclairer avec la crainte, réelle, d'être brûlé(e) par la ougie ou le cierge au fur et à mesure où il
se consumme!
L'utilisation de la cire dans les jeux est un vrai cérémonial. Le feu est impressionnant et la morsure peut être très vive. L'utilisation d'une musique envoûtante renforce encore les sensations d'attente!
Mais la bougie reste un jeu assez soft même si elle fait intervenir le feu. Un seul problème, prévoir un aspirateur ensuite pour néttoyer tous les copeaux de cire...

  Evitez d'utiliser des bougies colorées ou parfumées. Préférez les cires naturelles.

Par ZU - Publié dans : ARTICLE SUR LE BDSM SUITE
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Samedi 15 septembre 6 15 /09 /Sep 21:51

Ben wa balls, les boules de Geisha
 

Les boules de Geisha, comme leur nom l’indique nous viennent directement du Pays du Soleil Levant.

Ce sont des sphères, généralement en plastique, reliées par une ficelle au bout de laquelle est attaché un anneau. Les plus larges boules de Geisha sont à usage vaginal, les plus petites à usage anal. Tirer sur l’anneau facilite le retrait des boules.

Pour les mettre en place, vous pouvez vous allonger et utiliser du gel lubrifiant. Mettez les une par une, et contractez vos muscles pour vérifier que vous êtes à l’aise avec ce ‘corps étranger’. Ces muscles contrôlent les contractions vaginales et les boules de Geisha aident à renforcer ces muscles.

L’intérêt en D/s est q’elles peuvent se porter en toutes circonstances et sont invisibles sous les vêtements. Elles maintiennent un état d’excitation permanent menant bien souvent jusqu’à l’orgasme. Refuser l’orgasme à une soumise en portant est du pur sadisme !!! Vous pouvez aussi l’emmener danser et observer comme elle se trémousse bien sur la piste.

Méfiez-vous cependant de l’hygiène. La plupart des boules de Geisha sont deux moitiés de plastique réunies par de la colle et la ficelle passées dans une cavité au milieu. Autant de nids à microbes potentiels. De plus, la ficelle est bien souvent absorbante. Elles doivent donc être nettoyées consciencieusement et à moins que le mode d’emploi ne le déconseille, les faire bouillir n’est pas une mauvais idée du tout.

Il existe des chapelets de boules de Geisha plus petites pour usage anal. Dans ce cas, les introduire lentement, et lorsque l’orgasme se déclenche, les faire sortir une à une, assez rapidement. La contraction des muscles du sphincter ajoute à l’intensité de l’orgasme.

Duotones
 

Les boules Duotone ont un principe un peu différent des boules de Geisha. Chaque sphère renferme une bille en métal qui évolue librement et heurte les parois de silicone à chaque mouvement.
Ces heurts sont ressentis comme des vibrations et provoquent de très plaisantes ondes de choc !

Une méthode intéressante est de mettre une seule boule en place et de laisser l’autre à l’extérieur.
Il est recommandé de choisir des boules en silicone plutôt qu’en latex, le silicone étant plus facile à nettoyer et le latex n’étant pas toujours bien toléré sur les muqueuses.
il est très facile de se procurer des boules de Geisha ou des Duotones. Tous les sex-shops
  

 

ou les boutiques Internet en proposent pour un prix très abordable. Comptez environ 10 euro pour un set. Un peu plus pour les Duotones.
Un petit détail à ne pas négliger. Si vous prenez l'avion, évitez de les porter, à moins bien sûr que vous ne vouliez ameuter toute la police de l'air en déclenchant l'alarme des détecteurs de métaux!!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par ZU - Publié dans : ARTICLE SUR LE BDSM SUITE
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Samedi 15 septembre 6 15 /09 /Sep 21:44

Branding (tatouage) 

Branding, ou le Baiser de Feu

Poétiquement appelé ‘Baiser de feu’, le branding est à mon sens un bijou vivant très significatif. Il est classer dans les modifications corporelles, au même titre que le cutting, et quelques autres.

Historique 

Le marquage au fer n’est pas nouveau. On y avait recours sur les criminels et les esclaves. Les Français marquaient au fer rouge les criminels d’une fleur de lys sur l’épaule, afin d’en faire pour toujours des parias dans le monde civilisé. Puis ce fut au tour des Protestants de recevoir cette marque. Jusqu’au XVIIIe siècle, on marquait les voleurs de la lettre ‘S’, pour en faire des serviteurs. Une résurgence du marquage est survenue dans les années 20 et 30, pour les adeptes d’une même communauté . Il était d’usage de montrer son appartenance et son allégeance en y ayant recours. Le marquage était, faut-il le rappeler, utilisé principalement aux Etats-Unis pour marquer le bétail et ainsi authentifier son propriétaire par ses initiales. La pratique existe toujours et de nombreuses célébrités – surtout composées de Noirs – telles Michael Jordan, etc. portent gravées dans leur peau les lettres grecques de leur fraternité.

Encore aujourd’hui, des Universitaires, membres d’une fraternité, se marquent avec du métal chauffé à blanc pour sceller leur appartenance au groupe. Il semble de plus que plus c’est douloureux, plus c’est valorisant pour la personne qui le fait. C’est encore plus initiatique. Aussi, le branding ne pouvait-il trouver qu’une place de choix dans l’univers BDSM, et connaît aussi un regain de popularité parmi les adeptes du piercing qui cherchent quelque chose de plus ‘fort’ et de moins usité que le piercing qui se banalise.

Motivations 

Les actes de marquage actuels semblent prendre le principe du rite de passage puisqu’ils sont abordés comme une épreuve, notamment par la confrontation à la souffrance physique. Mais l’épreuve tend surtout à devenir une performance. De plus, la dialectique entre individu et groupe laisse place à un cheminement strictement individuel. Il n’y a plus de référence à des aînés, voire même à un groupe. La communication avec l’au-delà n’est plus recherchée, se réduit à une communication avec soi-même, de l’identité vécue à l’identité cherchée.

Le développement actuel des marques corporelles ne suit donc ni la tradition occidentale ni la tradition tribale. Cette démarche obéit en fait à la recherche de la mise en scène de soi à travers le spectacle des relations sociales. Le corps se fait aide-mémoire, support de marques symbolisant des moments clé de l’existence. Il se fait également décoration. Il s’agit ainsi d’élaborer sa singularité et de la rendre manifeste. Cette recherche de soi à travers le regard des autres conduit à investir le corps et surtout à le considérer comme une matière première inachevée qui reste à modeler. Le corps est ainsi l’intermédiaire entre l’individu, la nature, autrui et lui-même. On peut penser que l’on va de plus en plus vers une recherche de l’esthétisme. 

Le Branding est une brûlure, au 2e, voire au 3eme degré. N'oubliez pas qu'il faut la traiter comme tel, avec un traitement médiacl adapté. Hygiène, asepsie, tulle gras... 

Par ZU - Publié dans : ARTICLE SUR LE BDSM SUITE
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